Bravo Stephane, quelle belle initiative.
Je m’engage aussi à tes côtés. M’engager à quoi ?
A partager mon expérience, mon savoir en diététique et à
lutter contre la perte de bon sens de la société de « sur »
consommation.
Qui suis-je ? Toi tu le sais puisque tu as publié mon
interview sur
Certaines d’entre vous me connaissent, pour les autres
jetez-y un coup d’œil pour m’y rencontrer.
J’ai passé la plus grande partie de ma vie dans des pays où
l’on manquait de beaucoup de choses.
Vous ne pouvez pas imaginer la valeur d’un pot de moutarde
quand vous vivez au milieu de la brousse et qu’il n’y a pas de graines sur
place pour la faire soi-même. C’est petite cuillère par petite cuillère que je
l’utilisais pour pouvoir avoir une mayonnaise de temps en temps.
Et aujourd’hui, si je vais au supermarché ou pire, dans une
épicerie fine, je ne sais plus laquelle acheter. Tout est tentant évidemment.
Alors, parfois je préfère ne pas entrer dans ces superbes boutiques car je sais
que je risque de succomber, d’acheter un pot dont je ne me servirai qu’une
fois, « pour le fun » de la nouveauté. Mais j’avoue que je me laisse
tenter de temps en temps.
Ceci est un exemple qui me vient par hasard à la tête.
J’en raconterais pendant des pages et des pages, mais le
passé ne m’intéresse guère, je préfère l’avenir.
Et pour le préserver il nous reste beaucoup d’efforts à
faire.
Comme dit Aurélie de http://mesenviesetdelices.over-blog.com/article-manger-bloguer-manger-sain-manger-durable-manger-mieux-83385806.html
il ne faut pas prendre de trop grandes décisions mais plutôt
de petites, c’est plus facile de s’y tenir et mises bout à bout on fera un long
chemin.
J’ai eu la chance quand j’avais quarante ans de pouvoir
recommencer des études et de choisir celles qui me tentaient le plus, pour
obtenir un BTS de diététique.
Je n’ai pratiqué qu’en de rares occasions, notre vie
d’errance ne s’y prêtant pas. Par contre j’en ai appliqué les principes depuis
trente ans dans notre alimentation quotidienne et on s’en porte au mieux pour
notre certain âge ou âge certain.
Je m’engage donc à répondre à toutes vos questions pour vous
aider dans la mesure de mes possibilités, bien sur.
Vous avez peut-être vu mon nom associé à celui des Morceaux
extra ordinaires
Plus personne ne veut des abats actuellement, sauf des ris
de veau. Je pense même que si je demande à quelqu’un s’il mange des abats il va se récrier, mais si je lui
demande s’il aime le foie gras, le ton va changer.
Ah bon, le foie gras ne serait pas un abat ?
Voilà en quelque mot mon parcours de combattante que j’ai
menée toute seule. Aux côtés des participants du site Mangerbloguer je me
sentirai plus forte.
Vous me donnez votre avis ?
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